Université, composantes et services
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Yves Larmet, vice-président Patrimoine : « Le campus doit continuer à vivre normalement pendant le chantier du parc urbain »

Le chantier d’aménagement du parc urbain sur le campus de l’université démarre dans les jours qui viennent. Une opération en plusieurs phases, complexe, qui doit changer l’espace sans tout bouleverser.

Comment ce chantier va-t-il  se déployer ?
C’est un très gros chantier qui s’annonce. Il devrait durer environ deux ans, à partir de la fin septembre ou de début octobre. Il concerne un espace important du campus, qui doit néanmoins continuer à vivre pendant toute cette période, c’est ce qui fait sa difficulté : les bâtiments doivent rester accessibles pour les personnels et étudiants. On doit également respecter l’accès des pompiers, des livreurs, de notre propre service courrier… Nous organisons d’ailleurs une grande réunion d’information ouverte à tous le lundi 16 septembre à 13 h dans l’amphithéâtre 6 de l’Institut Le Bel pour donner toutes les explications disponibles sur le déroulement du chantier.
L’espace situé rue Descartes, depuis le parvis de la Faculté de droit jusqu’au parvis du Nouveau patio sera la première zone touchée par le chantier. Le terrain de foot contigu sera neutralisé fin octobre pour servir de base de vie et de stockage pour les entreprises. Puis, le chantier se déplacera vers la rue Blaise-Pascal. Le parvis de l’Insa sera également refait et végétalisé en 2014.

Très concrètement, par quoi commencent les travaux ?
Nous avons mis à profit cette réorganisation de l’espace et la mise en herbe pour rénover tous les réseaux : égouts, eau potable, eau de pluie, câble électrique et réseau informatique Osiris. Pour commencer, il y aura donc beaucoup de tranchées, dont une grosse rue Blaise-Pascal pour l’assainissement (presque 4 mètres  de profondeur). Nous souhaitons en profiter pour réduire nos rejets dans le réseau urbain, afin de limiter le coût de notre taxe d’assainissement. Le fait de végétaliser davantage le campus permettra aussi de générer moins d’eaux de ruissellement.

Qu’en est-il des arbres qui ornent actuellement des parties du campus directement concernées par les travaux ?
L’état sanitaire de tous les arbres a été évalué dans l’objectif de préserver un maximum d’arbres sains. Les arbres malades ou vraiment trop mal placés (sur les passages des réseaux par exemple) seront abattus, mais près de 200 nouveaux arbres seront plantés, avec une plus grande diversité. Les allées de platanes et de tilleuls seront préservées.
Le mobilier urbain sera bien sûr remplacé, et harmonisé, tout comme les revêtements de sols, avec ceux choisis pour la phase 1 (rue Gaspard-Monge, place d’Athènes, etc.). Les lampadaires seront équipés de lampes LED, l’éclairage piloté à distance, ce qui permettra d’en diminuer l’intensité, voire de l’éteindre sur certaines périodes. En plus de créer un magnifique parc urbain, nous nous efforçons de l’aménager dans un esprit de développement durable.
Quant au stationnement, il sera progressivement déplacé du centre du campus (rue René-Descartes) vers sa périphérie (notamment derrière le Patio, et près du Platane). 

Le parc urbain sera-t-il l’unique chantier universitaire de ces deux années à venir ?
Bien sûr que non. La vie continue ! Cet été, le campus a été parcouru de tranchées. Nous avons en effet changé des câbles électriques pour assurer des contraintes d’éclairage. De son côté, Électricité de Strasbourg a refait son réseau de câbles à haute tension sur le campus. 
Les travaux sur l’amphi Cavaillès au Patio se terminent, le hall de l’Institut Le Bel a été repeint, un espace de travail numérique a été installé et les sanitaires du rez-de-chaussée mis aux normes handicapés. Au Portique, les travaux de climatisation des locaux (6e et 5e niveaux) pour la Direction informatique avancent. Les sanitaires de la salle d’évolution, au Portique, ont été refaits. À l’IUT d’Illkirch, le chantier d’accessibilité pour les personnes handicapées a été retardé par la découverte d’amiante. Enfin, la restructuration des bâtiments de la Faculté de chirurgie dentaire est terminée. Le nouveau bâtiment sur le site de l’IGBMC est aussi en phase de livraison, enfin le chantier du Pôle d’administration public de Strasbourg-Pôle de compétences en propriété industrielle, sur le site de l’hôpital, est dans les temps.
Les travaux de rénovation du bâtiment de zoologie ont démarré. La Maison pour la science s’installera au rez-de-chaussée au milieu de l’automne. Enfin, l’avant-dernière tranche des travaux en chimie de l’Institut Le Bel va démarrer fin septembre. Elle concerne une partie des étages 4 à 9 de l’aile sud. Ce dernier chantier représente un investissement de 6,5 millions d’euros.

Propos recueillis par Caroline Laplane

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Lancement de l’Éspé : Richard Kleinschmager administrateur provisoire

C’est désormais acté, l’IUFM d’Alsace a disparu le 1er septembre dernier au profit de l’École supérieure du professorat et de l’éducation (Éspé). Richard Kleinschmager est son administrateur provisoire jusqu’à la fin de l’année civile.

Universitaire reconnu, spécialiste de géographie humaine et de géopolitique, Richard Kleinschmager a été nommé administrateur provisoire de l’Éspé par Armande Le Pellec Muller, recteur de l’académie de Strasbourg, sur proposition du président Alain Beretz. Il occupera ces fonctions jusqu’à la fin de l’année civile, pour la période de transition qui s’étendra de la création de l’Éspé, le 1er septembre dernier, jusqu’à la mise en place des instances de l'école, et la nomination de son directeur. Celui-ci sera nommé par les ministres de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, sur proposition du conseil d’école.
Dans son parcours, Richard Kleinschmager a été amené à s’intéresser de très près aux questions pédagogiques. Il a été, entre autres, vice-président de l’Université Louis-Pasteur de 2000 à 2007, chargé de la formation initiale et continue de 2000 à 2002, par ailleurs directeur du Centre d’initiation à l’enseignement supérieur d’Alsace. Il rappelle « qu’enseigner est un métier » et se dit  « convaincu de la nécessité de donner des outils à nos jeunes collègues pour bien faire leur métier », d’où l’importance de construire une école supérieure qui assure parfaitement sa mission.

Élargissement des missions

L’Éspé prend donc en charge la formation initiale et continue non seulement des enseignants du premier et second degré, mais aussi des professionnels de l’éducation, ce qui correspond à un élargissement de ses missions par rapport à celles de l’IUFM. Elle préparera ses étudiants à un master professionnel (master Métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation - Meef), qui garantira l’acquisition des compétences disciplinaires (matière qu’on souhaite enseigner) et des savoir-faire professionnels, indépendamment de la réussite aux concours de recrutement des enseignants (professeur des écoles, Capes, agrégation, etc.). La part de stages en école ou établissement a été largement augmentée dans les nouvelles formations car « enseigner s’apprend surtout sur le terrain ». Enfin, les liens sont renforcés avec la recherche, spécialement en sciences de l’éducation : en effet, les écoles supérieures auront vocation à développer les transferts entre la recherche et les pratiques pédagogiques.

Unistra, UHA et académie

En Alsace, l’Éspé est portée principalement par l’Université de Strasbourg, en étroite collaboration avec l’Université de Haute-Alsace et l’académie. Au total, l’école proposera quatre masters professionnels, dont un ouvrira à la rentrée 2014 (Pratique et ingénierie de la formation). Elle pourra accueillir 1 250 étudiants sur ses quatre sites de Strasbourg (la Meinau et Neuhof), Sélestat et Colmar. Composante de l’Unistra, l’Éspé de l'académie de Strasbourg fait partie du collégium « éducation-formation » dont les contours ont été modifiés à cette occasion. Bref, tout un environnement propice à la formation des enseignants, qui devrait permettre de « redonner ses lettres de noblesse à ce métier trop souvent déprécié », a conclu Michel Deneken, qui, comme vice-président chargé de la formation initiale et continue, a porté politiquement ce projet à l’Unistra.

C.L.

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Sept kilomètres linéaire d’archives à l’Unistra

Coup de flash sur le Service des archives de l’Université de Strasbourg (Unistra). Sa responsable, Lucile Schirr, précise ses missions et ses projets.

Quand et dans quel contexte a été créé le Service des archives de l’Unistra ?

Il y a trois ans, tout pile ! Le Service des archives découle directement de la fusion des universités strasbourgeoises. La question d’archivage s’est en effet posée lors des déménagements des différents services administratifs dont les archives sont restées en grande partie dans leurs locaux originels ou qui récupéraient les archives des précédents locataires des lieux.

Quelle est sa mission ?
Créer une politique d’archivage au sein de l’université et assurer sa mise en œuvre.
Avant la fusion des universités strasbourgeoises, il n’y avait pas de politique dans ce domaine mais des initiatives. J’ai donc rédigé un procédurier*, validé par le directeur général des services et les Archives départementales. Les tâches principales y sont définies, comme le versement qui permet de créer des instruments de recherche, l’élimination qui permet de faire du tri et la communication, en interne pour un agent qui veut retrouver un document, ou en externe, pour toute personne extérieure à l’université. Pour information, 500 demandes de communication ont été traitées en trois ans.

Pour quelles raisons les personnels de l’Unistra font-ils appel au Service des archives ?
Le déménagement, le manque de place et lorsque l’on ne retrouve plus rien, sont les principaux leviers d’une mission d’archivage. Pour pallier à ces urgences, je conseille de faire des tris réguliers, au moins une fois par an. J’aide d’ailleurs à trier les documents, à collecter les archives, à concevoir des instruments de recherche. J’organise aussi des formations dans le plan de formation des personnels ou en direct dans le service.

Quels sont les projets du service ?
Ces dix dernières années, les Archives départementales avaient bloqué les versements des institutions publiques pendant leur déménagement. Désormais, les versements vont se refaire pour garantir une meilleure conservation des archives. Cela demandera un important travail de préparation mais libérera aussi de la place de stockage en plus des éliminations réglementaires.
J’effectue également un récolement, c’est-à-dire un état des lieux des archives : volume, état de conservation, date des éléments, ce que l’on peut éliminer rapidement. Ainsi j’ai estimé les archives à l'Unistra à 7 kilomètres linéaires. En trois ans, des instruments ont été produits pour 500 mètres linéaires et 870 mètres linéaires ont obtenu des visas pour élimination. Il faut donc continuer le tri qui est une démarche de longue haleine. Mais le service est récent et il y a beaucoup d'actions à développer.

Propos recueillis par Fanny Del

*accessible sur l’ENT

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Politiques et administratifs : mieux travailler ensemble

Gouvernance politique et chefs de service de l’Université de Strasbourg se sont réunis pour la première fois en séminaire début juillet. Si les retours sont globalement positifs, le format et le contenu de ce genre de rendez-vous font débat.

Partager le projet stratégique de l’université et définir les conditions pour mieux travailler ensemble, tels étaient les objectifs de cette journée organisée mardi 9 juillet au Pôle européen de gestion et d’économie en présence de l’équipe présidentielle et des directeurs des services centraux. « Ce besoin de partage et d’échange entre gouvernances politique et administrative avait été exprimé il y a déjà un an en réunion de chefs de service et a été énoncé à nouveau avec la nouvelle mandature », explique Frédéric Dehan, DGS de l’université. Concrètement, tous ont travaillé sur les déclinaisons opérationnelles des lettres de mission des vice-présidents et sur la manière de collaborer. Et la forte participation au séminaire témoigne de l’adhésion de chacun des acteurs à la nécessaire connexion entre politique et administratif. « C’est important que les services adhèrent aux prospectives politiques de l’université pour pouvoir les mettre en œuvre », confie Mathieu Schneider, directeur du Service universitaire de l’action culturelle et enseignant-chercheur.

Des améliorations à apporter

Pascale Bergmann, vice-présidente Réussite étudiante, ajoute même : « Nous avons pu nous voir, nous écouter, nous entendre, apprendre à nous connaître pour former une équipe ». Avis que partage Hélène Mangano, directrice des finances, en soulignant des « échanges sains et ouverts qui ont permis de consolider les ponts entre les deux parties ».
Pourtant, si cette entrée en matière a globalement satisfait ses participants, certains s’accordent à dire que ce genre de rendez-vous doit évoluer. Le directeur du Suac aimerait notamment que les ateliers de travail portent sur des chantiers, des dossiers précis avec les acteurs concernés autour de la table. Mais, Pascale Bergmann, pense que « l’objectif d’une telle journée n’est pas d’avancer sur des dossiers mais plutôt de créer du lien ». Selon elle, il serait simplement intéressant d’organiser « des séances interactives sur une thématique pour laquelle tout le monde se sent concerné ».

Une journée deux fois par an

« Les sujets transverses ne manquent pas à l’université ; tous les dossiers impactent directement ou indirectement tout un chacun », insiste même Hélène Mangano, directrice des finances.
La question du format fait elle aussi débat. Mathieu Schneider hésite entre la demi-journée, plus facile à organiser, et les deux jours, pour aller plus loin dans l’avancée des projets tandis qu’Hélène Mangano penche pour des réunions plus fréquentes de trois heures. Pour Frédéric Dehan, « l’idéal serait d’organiser ce genre de séminaire sur une journée deux fois par an ». Et Pascale Bergmann d’imaginer ce genre de rendez-vous « au vert, hors du cadre ».
En attendant, l’ensemble des services centraux se réuniront mercredi 9 octobre pour travailler à la mise en œuvre concrète des lettres de cadrage des vice-présidents.

Floriane Andrey

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Une boussole pour ne pas perdre le nord

Pour tous ceux qui cherchent leur chemin sur le campus, et en ce début d'année universitaire, ils sont assez nombreux, l'Université de Strasbourg vient d'éditer une nouvelle "Boussole".

Ce plan des campus, qui existait jusqu'à maintenant sous forme de livret, a été édité cette année en format Z-Card, c'est-à-dire le format d'une carte avec un type de pliage spécifique et particulièrement pratique à ouvrir et à refermer, dès lors qu'on a compris qu'il faut ternir fermement les deux couvertures rigides qui l'entourent. Une fois repliée, la Boussole tient dans une poche de pantalon.
On y trouve un plan de chacun des onze sites géographiques de l'Université de Strasbourg, un plan d'implantation des bibliothèques, ainsi qu'un plan général du centre de Strasbourg qui situe les deux principaux campus - en taille (centre et médecine) - de l'université.
La Boussole a été diffusée sur tous les campus, dans les composantes, et bien sûr, on en trouve au Service de la vie universitaire, à l'Espace avenir, dans les bibliothèques, à l'accueil du Crous (Gallia), etc.

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La chorale universitaire recrute des chanteurs

L'ensemble vocal universitaire de Strasbourg (Evus) recrute des chanteuses et aussi des chanteurs. Première répétition mardi 17 septembre 2013 à partir de 19 h 45 au Portique.

Que vous soyez chanteur confirmé, chanteur amateur, ou même si vous n'avez jamais chanté de votre vie, l'Evus vous invite à venir pour chanter L'Enfance du Christ de Berlioz, puis Carmen de Bizet. Les répétitions se déroulent chaque semaine le mardi soir de 19 h 45 à 22 h au Portique (Campus Esplanade) à partir du 17 septembre. Elles sont souvent suivies d'une petite sortie entre choristes au bar du coin.

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Forme N’Fit 2 : chaussez vos baskets !

Les enseignants et étudiants du Deust Métiers de la forme* organisent la deuxième édition de Forme N’Fit le samedi 28 septembre de 10 h à 19 h. Nouveauté cette année, l’événement fitness s’exporte en plein air.

Fort de la réussite de la première édition de Forme N’ Fit en mars 2012 au Palais universitaire, enseignants et étudiants du Deust Métiers de la forme se mobilisent cette année pour donner une nouvelle dimension à cet événement fitness strasbourgeois. Pour la première fois, l’événement se déroulera en plein air, sur le parvis de Rivétoile, samedi 28 septembre 2013. « L’année dernière, au Palais U, malgré un cadre saisissant, la sonorisation était problématique. Cette année, nous avons donc choisi le plein air. Ce parvis, la place Jeanne-Helbling, situé entre l’UGC Ciné-Cité et le centre commercial Rivétoile, est un lieu de vie et de passage assez chouette », explique Julien Pierre, maître de conférences à la Faculté des sciences du sport, qui mise sur une météo clémente.
Au programme de cette journée, démonstrations (capoeira, aérobic sportive, boxe, mini trampoline, cros-training, etc.) et cours collectifs (renforcement musculaire, zumba, danses urbaines, cardio training) accessibles gratuitement. Des professionnels du secteur seront également présents et animeront différents stands. « L’objectif premier est de faire connaître et valoir le diplôme, de montrer que non seulement il existe mais que la formation est de très bon niveau et reconnue dans le domaine des métiers de la forme. Il s’agit aussi de montrer le dynamisme de la Faculté des sciences du sport et de promouvoir le secteur professionnel de la forme. » Quelque 1 000 personnes sont attendues sur la journée. Avis aux sportifs !

Floriane Andrey

*Diplôme d'études universitaires scientifiques et techniques proposé par la Faculté des sciences du sport de l’Université de Strasbourg.

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Participez à La Strasbourgeoise sous la bannière de l'université !

Le Service des sports propose à tout membre de la communauté universitaire de porter les couleurs de l’Université de Strasbourg à La Strasbourgeoise vendredi 11 octobre 2013 à 20 h 45. 

Pour la quatrième année consécutive, l'Office des sports de la ville de Strasbourg et l'Institut Lilly organisent cet événement pour le compte de l'association "Le cancer du sein - Parlons-en".
La course de 5 km est réservée aux femmes, mais la marche est mixte. L'inscription est à effectuer à l'accueil du Centre sportif universitaire (CSU) jusqu'au vendredi 4 octobre 2013. Le certificat médical de non contre-indication à la course à pied en compétition est obligatoire pour la course.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2013

09/201310/201311/201312/2013
<strong>Conseil d'administration - CA</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;24&nbsp;15&nbsp;/&nbsp;17
<strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong>
14 h - Mardi
&nbsp;/&nbsp;8&nbsp;26&nbsp;/
<strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong>
14 h 30 - Mercredi
&nbsp;25&nbsp;/&nbsp;6&nbsp;11
<strong>Conférence des directeurs de composantes</strong>
14 h 30 - Mardi
&nbsp;17&nbsp;1&nbsp;19&nbsp;10

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Liens vers les lettres électroniques utiles